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23 Nov 2021

4 astuces pour réduire l’empreinte écologique de son entreprise

De nombreux spécialistes l’ont présenté comme le sommet de la dernière chance. La COP 26, qui vient de rassembler à Glasgow près de 200 dirigeants internationaux et des dizaines de milliers d’acteurs locaux, a rappelé à tous la nécessité d’agir pour limiter l’empreinte écologique. Face à l’urgence climatique, le volontarisme politique est indispensable, mais insuffisant. Comme les particuliers, les entreprises ont un rôle clé à jouer. En tirant notamment parti des nouveaux modes de travail, voici une série de bonnes pratiques qui vous permettront de contribuer à l’effort commun.

1. Intégrer les nouveaux modes de travail pour réduire l’empreinte écologique

La crise sanitaire a joué un rôle d’accélérateur dans de nombreux domaines. Cependant l’organisation du travail est sans conteste l’un de ceux qui ont été le plus impactés. Le sondage Multiburo durant l’été 2021 sur les nouvelles organisations du travail, montre que 8 salariés sur 10 aspirent désormais à un mode hybride. L’idée est de télétravailler 2 ou 3 jours par semaine. 38 % se disent même prêts à changer d’employeur si celui-ci venait à imposer le retour du 100 % présentiel !

Pour les entreprises, un tel choix stratégique se traduit donc par :

  • une plus grande attractivité auprès des talents,
  • des économies financières,
  • mais également des bénéfices environnementaux.

En effet, donner la possibilité à ses collaborateurs de travailler hors locaux a pour conséquence naturelle de réduire l’usage des modes de transport. C’est un secteur à l’origine en France de 31 % des émissions de gaz à effet de serre. Recours croissant au télétravail, limitation des déplacements professionnels, encouragement à l’usage du vélo et des transports en commun : autant de leviers de poids pour réduire l’empreinte écologique.

2. Limiter les surfaces non utilisées 

Mettre en place un mix présentiel/télétravail des salariés aura naturellement une incidence sur la stratégie immobilière de l’entreprise. Le défi ? Parvenir à adapter précisément sa surface à l’organisation de travail. L’objectif est ici de trouver le juste équilibre pour proposer des conditions optimales aux salariés tout en évitant les postes de travail non utilisés. Tout espace vide est en effet inévitablement synonyme de coûts financiers autant qu’énergétiques.

Réduire le nombre de mètres carrés, c’est diminuer son impact environnemental, en limitant notamment le chauffage et l’électricité (liée à l’éclairage, l’informatique et la climatisation), soit les deux principales sources d’émission de carbone, mais également les besoins liés à différents postes (Internet, téléphone, etc.).

3. Aménager ses espaces de manière optimisée

La consommation énergétique d’un espace est rarement un critère décisif à l’heure de choisir un nouveau local. Différents éléments méritent pourtant une attention particulière, à commencer par la luminosité des lieux. En plus d’être hautement bénéfique à l’organisme humain, l’éclairage naturel a le grand avantage de réduire drastiquement la consommation d’électricité. De même, la qualité d’isolation des locaux s’avère déterminante. Une passoire énergique est synonyme de déperdition de chaleur l’hiver et de froid l’été… pour un coût environnemental majeur.

De manière générale, l’idée, à l’heure d’aménager un nouvel espace de travail, est de limiter autant que possible le recours à l’artificiel et de favoriser la diversité des espaces : luminosité naturelle, acoustique, isolation, circulation, etc.

4. Développer en interne une culture pour réduire son empreinte écologique

Au bout du compte, le bilan environnemental d’une entreprise est, en grande partie, lié à la somme d’agissements quotidiens de ses salariés. Il revient à la direction la responsabilité de sensibiliser ses équipes aux conséquences de leurs actions sur la planète. Communication engageante et visible dans les locaux, formations spécifiques, jeux-concours dédiés, échanges informels… tout est bon pour rappeler les comportements qui, mis bout à bout, peuvent faire de grandes différences sur l’empreinte écologique.

5. Des astuces simples à appliquer

Quelques exemples de ces bonnes pratiques, faciles à adopter :

  • Consommer de l’énergie uniquement quand nécessaire, et donc penser à éteindre les ordinateurs, imprimantes et autres photocopieurs ;
  • Programmer l’arrêt automatique des appareils, la nuit et le week-end ;
  • Nettoyer les disques durs régulièrement pour libérer de la place et obtenir de meilleures performances ;
  • Prendre l’habitude de baisser le chauffage et, dans la mesure du possible, de se passer de climatisation ;
  • Privilégier les impressions recto-verso, en limitant la consommation de papier au strict nécessaire ;
  • Pratiquer le tri collectif dans les poubelles mises à disposition par l’entreprise ;
  • Apporter son mug pour consommer du thé et du café, plutôt qu’utiliser des gobelets jetables, etc.

Espaces de travail flexibles : des bénéfices environnementaux déterminants

Start-up, PME comme Grands Groupes disposent d’une solution pour bénéficier de la plupart des avantages mentionnés ci-dessus : opter pour un espace de travail flexible. En effet, recourir à l’immobilier flexible (bureaux privatifs à la carte ou avec durée d’engagement minimale, espaces de coworking, salles de réunion, services de bureau virtuel), avec des formules clé en main, modulables et évolutives, c’est se donner l’opportunité d’adapter ses locaux à ses besoins du moment, dans une logique « sur mesure ».

A la clé ? La fin des mètres carrés inexploités, avec la possibilité de bénéficier au quotidien d’une précieuse souplesse dans la gestion de son espace (modularité bureaux et/ou coworking et/ou salles de réunions…) comme de son temps (bureau à la journée, à la semaine, au mois). Outre un gain économique substantiel, éviter toute déperdition d’espace met un terme à de nombreuses sources de gâchis environnemental, liées tant à la consommation de chauffage et d’électricité qu’à l’achat de mobilier et matériel professionnels. Autre levier pour limiter le gaspillage : le recours à des services mutualisés. Passer d’une logique de possession à une logique de service est notamment le moyen d’éviter la multiplication d’appareils le plus souvent inutilisés (imprimantes, cafetières, micro-onde, etc.).



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